German Interview für die "junge bühne" mit Nora Auerbach 2020
German/English Subtitles Interview on TANZFORUMBERLIN -> Video 2019
English Interview with Ekaterina Degot for Steirischer Herbst "Dis-Identifying with oneself" 2019
French "Nous devons nous approprier l’héritage, pour le digérer, en faire l’expérience en l’incarnant et pas seulement en regardant ou en lisant. Il est nécéssaire de se sentir libre d’être en désaccord avec nos héros, de pouvoir nous approprier respectueusement leurs dogmes mais aussi de pouvoir déshonorer les maîtres de l’histoire de la danse. " Interview with Wilson le Personnic 2018
Polish Interview with Katarzyna Sitarz on TaniecPolska 2019
" ...von vorne streckt ein Gothicgesicht, blass geschminkt wie Valeska Gert, uns die Zunge raus, und ja, das ist deutlich, und das darf es auch sein, leg dich nie mit deiner heldin ins bett, beiß ihr ins Genick und leck die Wunden, recycle sie, inhabit the symptom, nur so wird Kunst jünger je älter sie wird." Astrid Kaminski
"Elle chemine ainsi de la fabrication d’un état de corps à un autre, qu’elle relie par le fil de l’histoire de la danse. En français, en allemand ou en anglais, elle transfigure le geste hérité dans la contemporanéité de sa pratique en créant une jonction entre l’art extravagant et subversif du cabaret berlinois, le positionnement critique radical du mouvement punk, et la résistance présente à un retour d’autorité idéologique régressive. Même combat, mêmes armes ?" Audrey Chazelle
"C'est exactement ça, tout autant que les attentes de ses spectateur.ice.s y sont constamment déjouées, surprises, au coeur d'une disposition physique qui y prédispose. L'artiste opère deux déplacements principaux. Le premier est d'attirer l'attention, non sur la danse de Valeska Gert à quoi on s'attend, mais sur ses "danses de voix", convaincue qu'elle était, d'être la première danseuse en son temps à se saisir complètement de ce registre d'expression, brisant l'assignation traditionelle de l'a danse à un art "muet". Gerard Mayen
"Störlaut est une pièce hybride à la fois chorégraphique et sonore. Attention, rien de beau ni de mélodique ici. Tout sonne faux et c’est terriblement juste. L’idée défendue par Julie Flierl est que Valeska Gert est actuelle. Résolument contemporaine. Ici, les images sont troublées par l’audio. Quand nous la regardons, nous sommes saisis par sa voix qui dit « non » dans une baffle juste à côté de nous. Ses déplacements nous déplacent, ses sons nous déplacent, mais son image nous scotche. Elle se tord, se pend, meurt, ressuscite, convulse presque, est possédée." Amélie Blaustein Niddam